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-)_'.l. MEMOIRES UE l'IKlilil-. ue l/jBSTOIXE.
plus propres pour pacifier cest Estat. Les lettres signees Revol furent baillées à M. dc Maienne lui mesmes.
Quand ie cardinal Pellevé eust entendu la venue du trompette, et cc qu'il apportoit, Ll dit tout haut qu il estoit d'avis qu'on donnast le fouet au trompette, pour lui apprendre une autre fois à ne se plus charger de telles bagatelles, ct Advis, dit quelcun, digne d'uou « grosse teste comme la sienne, où il y a peu de sens,.-
Ce jour, le duc de Maienne malade fust visité par M. Marescot, medecin, qui lui conseilla une diette. Dont une dame le rencontrant, lui dit qu'il lui devoit ordonner plustost de trés bien manger, affin qu'il crevast incontinent. La venue du légat aux Estats, qu'on y attendoit ce jour pour les benistre, fust differée,
Le vendredi vingt-neuvième de ce mois , messieur. le prevost des marchans et procureur general Male empesché-, pour faire refaire Ies ponts de Paris, qui menassent ruine.
Ce jour, arrivèrent à Paris pourle» Estats le vicomtr
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